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Le procureur de la République a demandé au juge du 10ᵉ cabinet de placer l’ex-commissaire Cheikhna Keita sous mandat de dépôt. En effet, il le poursuit pour diffusion de fausses nouvelles. Par conséquent, une information judiciaire a été ouverte afin de clarifier les circonstances de ses déclarations et leurs conséquences.

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La Division des investigations criminelles (DIC) a ensuite arrêté Cheikhna Keita sur ordre du procureur. L’ex-commissaire avait relayé des informations non vérifiées. Selon ses affirmations, une altercation aurait eu lieu entre le président Bassirou Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko au palais de la République. Ces allégations ont rapidement circulé dans les médias et, par conséquent, semé inquiétude et confusion dans l’opinion publique.

Le procureur a expliqué que diffuser de fausses nouvelles concernant des personnalités politiques de haut niveau peut menacer la sécurité publique et la stabilité des institutions. Ainsi, l’instruction judiciaire doit vérifier si Cheikhna Keita a agi intentionnellement ou s’il s’agissait d’une erreur.

De plus, les autorités surveillent de près les rumeurs et fausses informations sur les réseaux sociaux et dans certains médias. Elles prévoient de mener des auditions et de collecter des preuves pour évaluer l’ampleur de la diffusion et identifier d’éventuels complices.

Pour l’instant, Cheikhna Keita reste détenu en attendant les décisions judiciaires. Par ailleurs, les autorités appellent le public à vérifier les informations avant de les partager afin de préserver la confiance dans les institutions.

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