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La jeunesse sénégalaise face à la contre-révolution

1. Un pouvoir conquis, mais menacé

Il n’a pas abdiqué. Avec ses sbires et seconds couteaux, ils n’abdiqueront jamais, convaincus par les sirènes encagoulées prêtes à entonner la musique des « droits » des hommistes. Le système les maintient en vie : ils remplissent leurs besaces et contrôlent toujours les rênes de l’administration.

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La 5ᵉ colonne quittera l’Hexagone, depuis Paris, dès la semaine prochaine, a‑t‑elle annoncé — prête pour un ralliement insurrectionnel lancé par un corbeau blanc, suite à l’appel direct de « boukki », qui dandine dans les rues de Dakar.

2. La justice : pilier de la révolution

La justice doit guider toute révolution qui veut réussir. Elle doit devenir une lance de fer dans un fourreau d’acier. Tout État qui ne dote pas sa justice de moyens pour traquer et réprimer la délinquance et l’apologie des crimes se condamne à l’effondrement.

Certaines actions et paroles relèvent de l’apologie de crimes ou de délits et non de la liberté d’expression. Une justice faible compromet la révolution et encourage la contre-révolution, tolérée par des acteurs judiciaires inféodés au système corrompu.

3. Les leçons du passé

Le Sénégal a vécu trois années de répression sanglante : emprisonnements arbitraires, tortures, barbarie et meurtres. La justice servait alors d’instrument au profit d’intérêts privés, de néo-colonialistes kleptomanes et de l’impérialisme occidental.

Pendant ce temps, la société civile et les organisations de défense des droits de l’homme sont restées silencieuses. Le peuple sénégalais, avec le soutien des panafricains, a renversé les tortionnaires, donnant naissance à une révolution inédite.

4. Le danger des survivances du système ancien

L’histoire montre que toute révolution est en danger si elle ne remplace pas immédiatement l’ancien système. Maintenir des structures anciennes ou des personnels non essentiels constitue un risque permanent.

La justice contre-révolutionnaire continue d’agir et de se corrompre, tandis que les prédateurs économiques échappent à toute sanction. L’administration compradore freine le gouvernement de Sonko, sans subir de purge.

5. L’urgence d’une action décisive

Les droits civils et politiques ne justifient pas la propagande subversive ou l’insurrection. La justice, qui devrait protéger le nouvel ordre, reste sous le contrôle de l’ancien pouvoir. La contre-révolution s’organise et l’État doit agir de manière préventive et offensive.

Le pouvoir est pris, mais les artisans de la révolution restent marginalisés. Toute réforme incomplète ou tolérant les survivances du système déchu est vouée à l’échec.

6. Le système à briser

L’administration actuelle bloque tout changement radical et freine le processus révolutionnaire. Il faut briser ce système, exercer pleinement le pouvoir et confier les commandes à ceux qui ont sacrifié leur liberté et leur sang.

7. Le tandem Sonko‑Diomaye : légitimité et devoir

Certes, des changements profonds ont commencé, mais ils doivent s’accompagner d’une communication claire et d’une cadence plus rapide. Le tandem Sonko-Diomaye bénéficie de l’onction du peuple : légitimité et légalité.

Sonko et Diomaye doivent réussir pour le pays et pour l’Afrique, dont le destin repose sur une unité organique et fonctionnelle. Le peuple sénégalais reste vigilant et fera face à la contre-révolution et à la 5ᵉ colonne.

ALMoudiadidtv

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